Bruxelles, 05/05/2010
“On n’a pas hésité à sauver les banques en 2008. Elles ont obtenu ce qu’elles voulaient. A l’époque, il n’y avait aucune doctrine en matière de risque moral. Aujourd’hui, tous les pays de l’UE devraient traiter la Grèce avec respect, sans racisme de la presse populaire; avec sympathie, et sans mépris; avec générosité, et sans suspicion” déclare John Monks.
“L’Europe et le gouvernement grec doivent travailler ensemble, y compris avec les partenaires sociaux, afin de mettre en place un plan de relance. Et je parle bien de relance, et pas de réductions qui déclencheront une dépression. Je ne parle pas de conditions qui appauvriront le pays, ni de réductions de salaires et de conditions qui affaibliront la demande et se traduiront par des nouvelles augmentations du chômage” ajoute – t-il.
- Discours de John Monks (Uniquement en anglais)
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