Bruxelles, 24/04/2012
Bernadette Ségol, secrétaire générale de la CES a déclaré : « A la lumière du niveau de corruption, qui reste élevé dans le pays, et du piètre bilan en matière de droits humains, nous proposons des exigences contraignantes, afin d’évaluer et de remédier à l’impact négatif des investissements sur les droits humains ; des rapports publics ; et la création, entre autres, d’instruments effectifs de règlement des plaintes et des litiges, qui sont absolument nécessaires pour assurer que les nouveaux échanges et investissements ne contribuent pas aux problèmes du pays ».
- Lettre de la CES à Mme Ashton (seulement en anglais)
- Déclaration de la CSI : Business and Human rights in Burma : a Trade union proposal
26.04.2012
Communiqué de presse