La Commission irlandaise pour les relations de travail a accordé 5.000 € à titre de dommages-intérêts à une femme de chambre après avoir établi qu’elle avait été licenciée en raison de ses activités syndicales.
La femme qui était membre du syndicat irlandais SIPTU, s’inquiétait du nombre de membres du personnel de l’hôtel licenciés et avait donc distribué des formulaires d’affiliation au syndicat et encouragé ses collègues à y adhérer. Sept jours plus tard, elle était licenciée.
L’hôtel a nié que le licenciement était dû à son travail syndical mais l’agent adjudicateur (adjudication officer) de la Commission, Emer O’Shea, a estimé « la version des événements présentée par la requérante plus crédible et convaincante que la version avancée lors de l’audience par le défendeur. »
Photo credit: Adrian Scottow