Bruxelles, 15/01/2007
« Il est paradoxal que, alors que dans les Etats membres, l’argument de l’emploi est utilisé abondamment, soit pour s’opposer soit pour soutenir des mesures plus strictes pour lutter contre le changement climatique, la Commission fait comme si cette question ne se posait pas au plan européen», constate John Monks, secrétaire général de la CES.
Trois points doivent être impérativement revus :
- l’introduction d’une taxe carbone sur les importations