Le Comité des jeunes de la Confédération européenne des syndicats (CES) a élu aujourd’hui sa nouvelle Présidente, Viktória Nagy.
« Malgré une reprise de la croissance économique partout en Europe, les travailleurs attendent toujours de récupérer de la crise », a-t-elle déclaré, « et trop de jeunes sont pris au piège d’emplois précaires. Il faut mettre fin aux contrats zéro heure, aux salaires inférieurs au minimum vital et aux stages non rémunérés. »
Cher(e)s lecteur(trice)s,
La CES est heureuse de vous proposer la dernière édition 2017 de sa newsletter « National Updates » avec un tour d’horizon d’innovations et succès syndicaux récents tant au niveau national que sectoriel. Nous nous focalisons à nouveau à illustrer comment les syndicats agissent de manière constructive auprès des travailleurs à promouvoir le progrès social et la justice en Europe et ailleurs, en coopérant avec les employeurs, gouvernements et organisations de la société civile.
Commentant l’accord intervenu entre la Commission européenne et le gouvernement britannique sur les négociations concernant le Brexit, le Secrétaire général de la Confédération européenne des syndicats (CES), Luca Visentini, a déclaré : « Le signal de départ de la phase suivante des négociations est maintenant prêt à être donné pour autant que l’accord soit approuvé la semaine prochaine par les gouvernements de l’UE 27. »
Commentant la liste des paradis fiscaux arrêtée aujourd’hui par les ministres des finances, Katja Lehto-Komulainen, Secrétaire générale adjointe de la Confédération européenne des syndicats (CES), a déclaré :
« Toute action contre l’évasion fiscale est bienvenue mais nous continuerons à faire pression pour la complète divulgation des activités économiques dans tous les pays sans exception ainsi que pour une réglementation fiscale commune et des taux d’imposition minimum. Ce qui a été convenu aujourd’hui doit être suivi d’autres décisions lors de prochaines réunions. »
« L’architecture de l’Union économique et monétaire est loin d’être complète », a déclaré Luca Visentini, Secrétaire général de la Confédération européenne des syndicats (CES). « L’UEM a vraiment besoin d’une gouvernance renforcée et plus cohérente et de moyens pour assurer l’avenir à long terme de l’euro. Le train de mesures présenté par la Commission européenne est important et les États membres doivent trouver le courage politique pour prendre les décisions qui s’imposent. »
Le droit d’adhérer à un syndicat et le droit à la négociation collective sont des droits de l’homme fondamentaux reconnus par l’Organisation internationale du travail des Nations unies.
Pourtant, nombreuses sont les entreprises multinationales qui ne reconnaissent pas les syndicats et ne négocient donc pas les conditions de rémunérations et de travail avec eux.
Cher(e)s lecteur(trice)s,
Nous venons de publier la newsletter de la CES de novembre 2017.
Pour lire cette publication, il suffit de cliquer ici.
Bonne lecture
A l’entame du sommet UE-Union africaine qui s’ouvre aujourd’hui en Côte d’Ivoire, la Confédération européenne des syndicats (CES) a demandé une suspension immédiate des actions de l’UE visant à maintenir les réfugiés et les migrants en Lybie, au moins jusqu’à ce que leur sécurité et leur bien-être puissent être garantis.
La Confédération européenne des syndicats (CES) se réjouit de la tenue – hier et aujourd’hui – au Vatican d’une conférence sur le travail et le mouvement syndical au cœur du développement et sur la nécessité d’un bon travail pour tous.
Une délégation de la CES emmenée par le Secrétaire général Luca Visentini a participé à la Conférence syndicale internationale « de Populorum progressio à Laudato si » (du Développement des peuples à Loué sois-tu) organisée par le Saint-Siège dans la Cité du Vatican.
Réagissant au plan d’action destiné à combattre l’écart de rémunération entre les femmes et les hommes publié aujourd’hui par la Commission européenne, Montserrat Mir, Secrétaire confédérale de la Confédération européenne des syndicats (CES), a déclaré : « Nous n’avons que trop attendu une initiative législative novatrice pour remédier à l’écart salarial hommes-femmes partout dans l’UE. La CES se réjouit donc de toute promesse portant sur un examen des possibles modifications de la directive sur l’égalité des rémunérations mais cet examen doit être suivi d’actions.
Commentant l’Examen annuel de la croissance de la Commission européenne qui marque le lancement du processus annuel du « Semestre » de coordination des politiques économiques au sein de l’UE, Katja Lehto-Komulainen, Secrétaire générale adjointe de la Confédération européenne des syndicats (CES), a déclaré :
« J’espère que l’annonce faite aujourd’hui est le prélude à une meilleure politique économique de l’UE, le départ d’une politique économique européenne qui se soucie d’équité et des conditions de vie et pas seulement des règles budgétaires. »
Les pays membres du Partenariat oriental de l’UE – Arménie, Azerbaïdjan, Biélorussie, Géorgie, Moldavie et Ukraine – dont les chefs d’État et/ou de gouvernement seront à Bruxelles le vendredi 24 novembre pour le sommet du Partenariat oriental, présentent un bilan très médiocre en matière de droits des travailleurs.
« Employeurs et syndicats ont un rôle de premier plan à jouer pour rendre les lieux de travail plus sûrs pour les femmes et pour contribuer à l’élimination de toute violence à leur égard », affirme Luca Visentini, Secrétaire général de la Confédération européenne des syndicats (CES). « Les conventions collectives se sont révélées être un moyen très efficace de combattre ce fléau. »