La Confédération européenne des syndicats (CES) appelle la Commission européenne à s’attaquer à la cause numéro un de maladie professionnelle en Europe : l’épidémie de douleurs au dos, aux épaules, au cou, aux coudes, aux mains et aux genoux qui représente une sérieuse perte de qualité de vie pour les travailleurs et des millions de journées d’absence au travail.
Le coût pour les employeurs, les travailleurs et les services de santé a été estimé à 163 milliards d’euros.
Un nouveau site web – mis en ligne aujourd’hui avec le soutien de la Confédération européenne des syndicats (CES) – permettra aux travailleurs d’en apprendre davantage sur les risques de cancers liés au travail et sur les dangers de l’exposition à des substances cancérigènes.
Chaque année, plus de 100.000 personnes meurent en Europe du fait d’avoir travaillé avec de telles substances. Le nouveau site, www.roadmaponcarcinogens.eu, met l’accent sur la nécessité de limiter l’exposition aux agents cancérigènes.
Selon la Confédération européenne des syndicats (CES), l’UE pourrait relever les bas salaires au profit des travailleurs et de leurs familles partout en Europe et au-delà.
A l’approche de la Journée mondiale pour le travail décent le 7 octobre, la CES attire l’attention sur :
Commentant les propositions destinées à lutter contre le chômage des jeunes présentées aujourd’hui par la Commissaire européenne Marianne Thyssen, la Confédération européenne des syndicats (CES) prévient que les fonds prévus ne sont pas à la hauteur des bonnes intentions.
Les syndicats voient dans une industrie sobre en carbone une opportunité pour un développement durable et veulent que les régions industrielles de l’UE élaborent des stratégies à long terme pour réduire leurs émissions en y associant étroitement syndicats et employeurs.
Telle est la conclusion d’un projet de 2 ans financé par l’UE mené par les syndicats et d’autres organisations régionales dans sept régions industrielles d’Europe.
Cher(e)s lecteur(trice)s,
Nous venons de publier la newsletter de la CES de septembre 2016.
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Bonne lecture
L’économie à la demande, encore appelée « économie des petits boulots », doit grandir et faire face à ses responsabilités vis-à-vis des travailleurs et de la société en transformant le travail non déclaré en travail déclaré et la Commission européenne doit aider les plateformes en ligne à y parvenir, préviennent la Confédération européenne des syndicats (CES) et UNI Europa, le syndicat européen des travailleurs des services.
Les partenaires sociaux de l’Union pour la Méditerranée
DÉCLARATION SUR LE DIALOGUE SOCIAL
Troisième Conférence ministérielle de l’Union pour la Méditerranée sur l’emploi et le
travail organisée les 26 et 27 septembre en Jordanie
Jordanie, le 26 septembre 2016
Un large groupe d’organisations de la société civile et de défense des consommateurs ainsi que de syndicats demandent aux ministres du commerce de l’UE de refuser de signer l’Accord économique et commercial global (CETA) avec le Canada [1]. Les ministres européens du commerce se réunissent aujourd’hui et demain à Bratislava pour discuter de la ratification du traité CETA.
Alors que la question de la représentation des travailleurs dans les conseils d’administration des entreprises revient tout juste à l’agenda politique*, des démarches sont en cours visant à déclarer illégal le système allemand de représentation des travailleurs dans les conseils d’administration.
L’affaire qui est portée devant la Cour de justice européenne (CJE) soutient que la loi allemande est discriminatoire pour les filiales d’entreprises allemandes en Europe et qu’elle est donc incompatible avec le droit européen.
L’OCDE plaide aujourd’hui pour davantage d’investissements et pour que ces investissements soient exclus des règles budgétaires de la zone euro.
Elle souligne également que les profondes inégalités et la stagnation des salaires freinent le retour de la croissance.
Parmi les commentaires clés des perspectives de l’OCDE, on notera notamment :
Réagissant au discours du Président Juncker sur l’état de l’Union, Luca Visentini, le Secrétaire général de la Confédération européenne des syndicats, a déclaré :