Bruxelles, 06/09/2013
Depuis le coup d’état de 2006, la population des Fidji souffre d’une dégradation de la situation sociale et du non-respect des droits fondamentaux, en particulier le droit à la liberté d’association, de réunion et d’expression. C’est la raison pour laquelle, et la CES et la CSI, demandent à rencontrer Mme Ashton dans les meilleurs délais afin d’en discuter et de faire pression pour que l’UE contribue à un renversement de la situation.