Bruxelles, 12/01/2011
Toute comme la crise financière l’a démontré, il est peu réaliste de s’attendre à ce que les pays soient capables de respecter des règles strictes dans des circonstances aussi exceptionnelles que celles que nous connaissons aujourd’hui. Les "mauvaises" dettes des banques et leur transfert vers les comptes publics n’ont pas permis aux pays de respecter les règles actuelles et, à moins d’une exceptionnelle période de croissance, certains pays ne seront pas en mesure de respecter des règles plus strictes d’ici 2013. C'est là que réside la source d’un conflit à l'encontre de la démocratie.
12.01.2011
Communiqué de presse