Le Secrétaire général de la Confédération européenne des syndicats (CES), Luca Visentini, et les Secrétaires généraux des syndicats italiens CGIL, CISL et UIL – Susanna Camusso, Annamaria Furlan et Carmelo Barbagallo – ont rencontré le Vice-premier ministre italien Luigi Di Maio aujourd’hui à Rome.
Le Secrétaire général de La Confédération européenne des syndicats (CES), Luca Visentini, a écrit à tous les Ministres de l’emploi les exhortant à ne pas diluer les propositions de la Commission et à adopter une approche générale constructive » concernant les 2 directives qui seront examinées au Conseil EPSCO de jeudi.
Commentant l’annulation par la Cour de cassation de Luxembourg de l’arrêt rendu à l’encontre du lanceur d’alerte Antoine Deltour à l’origine de l’affaire « LuxLeaks », la Confédération européenne des syndicats (CES) a plaidé en faveur d’une meilleure protection des lanceurs d’alerte pour l’ensemble de l’UE.
« Les gens devraient pouvoir dénoncer des actes répréhensibles sans crainte de punition », a déclaré Esther Lynch, Secrétaire confédérale de la CES. « L’annulation de la condamnation d’Antoine Delcour est une bonne nouvelle et il n’aurait d’ailleurs jamais dû être poursuivi. »
Dix ans après le désastreux arrêt anti-travailleurs rendu le 18 décembre 2007 par la Cour de justice de l’Union européenne dans l’affaire Laval, la Confédération européenne des syndicats (CES) estime que le Socle européen des droits sociaux oblige l’UE à réparer les dégâts qui ont été causés.
Les pays membres du Partenariat oriental de l’UE – Arménie, Azerbaïdjan, Biélorussie, Géorgie, Moldavie et Ukraine – dont les chefs d’État et/ou de gouvernement seront à Bruxelles le vendredi 24 novembre pour le sommet du Partenariat oriental, présentent un bilan très médiocre en matière de droits des travailleurs.
La Confédération européenne des syndicats (CES) salue le jugement rendu aujourd’hui par la Grande chambre de la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) en faveur du droit d’un travailleur au respect de sa vie privée et restreignant le droit des employeurs de surveiller les communications électroniques de leurs travailleurs.
La CES est intervenue pour soutenir le plaignant dans ce dossier, en raison de ses répercussions plus vastes sur la vie privée et l’occupation des travailleurs.
La réduction du salaire minimum pour les travailleurs de moins de 25 ans, dans le cadre du programme d’austérité imposé à la Grèce par l’UE et d’autres créanciers, a été jugée « excessive » et condamnée comme étant « une discrimination fondée sur l’âge » contraire à la Charte sociale européenne (CSE) du Conseil de l’Europe.
La Confédération européenne des syndicats (CES) lance un appel à l’UE et aux gouvernements nationaux pour qu’ils apportent davantage de soutien aux représentants des travailleurs pour la santé et la sécurité au travail afin de lutter contre les maux de dos, de cou et d’épaules.
Le 15 juin 2017, le Parlement européen a adopté deux importants rapports sur les plateformes en ligne et l’économie collaborative. La Confédération européenne des syndicats (CES) a travaillé en étroite collaboration avec les eurodéputés pour s’assurer que les revendications syndicales soient prises en compte.
Le communiqué du Parlement souligne les inquiétudes des syndicats à propos de la sauvegarde des droits des travailleurs à l’ère de l’économie numérique et appelle la Commission européenne et les États membres à :
La Confédération européenne des syndicats et la Confédération syndicale internationale appellent le Fonds monétaire international à cesser de pousser la Grèce à réduire encore les retraites et à procéder à une nouvelle déréglementation du marché du travail avant de lui accorder un nouveau programme de prêt, ou d’autoriser des versements par les institutions européennes.
Alors que le gouvernement britannique devrait déclencher l’article 50 cette semaine, la Confédération européenne des syndicats (CES) a demandé au négociateur en chef de l’UE, Michel Barnier, de défendre "un accord social et économique qui protège l’emploi, le niveau de vie et les droits des travailleurs et non un accord de libre-échange reposant sur un programme de révision à la baisse des salaires, des impôts et des normes".
La CES réclame :
La Confédération européenne des syndicats (CES) pense que les travailleurs doivent être en mesure de combiner leur vie professionnelle et leur vie privée de manière à répondre aux besoins des parents, des enfants, des aidants proches et des personnes à charge. Il est démontré qu’un juste équilibre entre vie professionnelle et vie privée est bon pour les travailleurs, les employeurs et la société en général.
Vivre dans un pays et travailler dans un autre n’est pas inhabituel dans les régions frontalières en Europe. Les syndicats néerlandais FNV et allemand DGB s’associent pour fournir une protection juridique à leurs membres.
Cette assistance pourrait profiter à des milliers de travailleurs se déplaçant entre l’Allemagne et les Pays-Bas.
La Confédération européenne des syndicats (CES) a accueilli avec prudence la proposition de la Commission européenne d’une nouvelle directive visant à protéger les entreprises insolvables ou proches de la faillite.
Les syndicats sont bien décidés – avec les employeurs – à éliminer la violence à l’égard des femmes à travers des conventions collectives et leur application correcte aux niveaux national, sectoriel et de l’entreprise.
Selon l’enquête européenne sur les conditions de travail publiée aujourd’hui, plus d’un tiers des travailleurs disent avoir des fins de mois difficiles voire très difficiles.
C’est la triste réalité qui se cache derrière le tableau idyllique brossé par la Fondation européenne pour l’amélioration des conditions de vie et de travail qui met l’accent sur une « main-d’œuvre de plus en plus qualifiée et en grande partie satisfaite de son travail ».
Toutefois, l’enquête révèle également que :
La CES se joint à plus de 40 syndicats et organisations de la société civile pour demander une meilleure protection des travailleurs qui dénoncent des actions fautives.