Tours, 09/06/2010
Cher François, chers camarades, je suis heureux de me retrouver parmi vous aujourd’hui à Tours.
Comme vous le savez, l’heure est grave un peu partout en Europe.
23 millions de chômeurs et pour beaucoup, peu de perspective d’espoir. L’ambiance générale est à l’incertitude et au désespoir. La tension sociale monte dans de nombreux pays. Les travailleurs grecs, roumains, portugais, espagnols ont manifesté. Même les travailleurs danois, peu habitués aux manifestations, vont descendre dans la rue.