Réunis aujourd’hui à Londres pour discuter des prochaines étapes pour l’UE et le Royaume-Uni après le référendum sur le Brexit, des responsables syndicaux ont convenu que :
Selon la Confédération européenne des syndicats (CES), l’examen par la Commission européenne des règles de l’UE en matière d’insolvabilité offre une importante opportunité d’améliorer la loi et de faire en sorte que les travailleurs soient correctement protégés.
Prenant la parole aujourd’hui lors de la conférence de la Présidence slovaque sur la « Convergence des cadres d’insolvabilité au sein de l’Union européenne – la voie à suivre », Esther Lynch, Secrétaire confédérale de la CES, a souligné le manque de reconnaissance de la situation vulnérable des salariés.
Réagissant à la décision de l’ECOFIN qui déclenche un mécanisme de sanctions à l’encontre du Portugal et de l’Espagne pour cause de déficits excessifs, la Secrétaire générale adjointe de la Confédération européenne des syndicats (CES) Veronica Nilsson a déclaré : « J’en appelle à la Commission pour qu’elle n’impose pas de lourdes amendes au Portugal et à l’Espagne et pour qu’elle ne leur bloque pas l’accès aux fonds européens. »
La CES partage le chagrin du peuple français suite à l’attaque horrible qui a frappé Nice la nuit dernière.
Le mouvement syndical européen présente ses condoléances et sa solidarité dans cette période difficile. Les morts et les blessés, leurs familles et leurs proches, les travailleurs œuvrant pour gérer cette situation et ses conséquences, sont dans nos pensées et nos cœurs.
Commentant la décision de la Commission européenne d’approuver l’accord commercial entre l’UE et le Canada (CETA/AECG) et de le soumettre à l’approbation des parlements nationaux, la Secrétaire confédérale de la CES, Liina Carr, a indiqué que « présenter l’accord commercial entre l’UE et le Canada aux parlements nationaux est la bonne décision étant donné la controverse qu’il a suscitée. »
Un nouveau rapport de la Confédération européenne des syndicats (CES) montre comment les entreprises utilisent des sociétés boîtes aux lettres non seulement pour payer moins d’impôts mais aussi pour réduire les salaires et imposer de mauvaises conditions de travail.
Les sociétés boîtes aux lettres sont des entités juridiques établies dans un pays de l’UE où elles n’ont aucune activité économique (ou très peu) afin de profiter du régime le plus avantageux possible en matière d’impôt, de salaires, etc.
Cher(e)s lecteur(trice)s,
Nous venons de publier la newsletter de la CES de juin 2016.
Pour lire cette publication, il suffit de cliquer ici.
Bonne lecture
La semaine dernière, la CES a publié une brève déclaration intitulée « Sommet européen – Ce que les syndicats en attendent » (https://www.etuc.org/fr/presse/sommet-europ%C3%A9en-%E2%80%93-ce-que-les-syndicats-en-attendent#.V3TaGzVSFMg)
Mais quels sont les résultats réels du Sommet pour les travailleurs ?
Ce que nous demandions
Ce que nous avons obtenu
La Confédération européenne des syndicats (CES) est profondément choquée par le massacre insensé de voyageurs et de travailleurs innocents commis hier soir à l’aéroport d’Istanbul et a envoyé un message de solidarité à ses membres en Turquie.
Luca Visentini, Secrétaire général de la Confédération européenne des syndicats (CES), a signé aujourd’hui un accord au siège de la Commission européenne selon lequel :
Référendum britannique
La CES demande que le vote du Brexit serve de sonnette d’alarme à l’UE afin qu’elle propose un meilleur accord.
Plus particulièrement, la CES demande des actions décisives
Commentant les résultats du référendum britannique sur l’appartenance à l’UE, Luca Visentini, Secrétaire général de la Confédération européenne des syndicats (CES), a déclaré :
« C’est un jour sombre pour l’Europe et pour la Grande-Bretagne. Il doit tirer la sonnette d’alarme à l’UE afin qu’elle offre de meilleures perspectives aux travailleurs."