Les stages peuvent, il est vrai, représenter un tremplin vers l’emploi pour les jeunes. Malheureusement, ils peuvent aussi constituer un piège, raison pour laquelle le Parlement et le Conseil européens ont, à plusieurs reprises, lancé un appel en faveur d’un Cadre de qualité pour les stages (CQS).
Sur l’invitation des deux affiliés serbes, CATUS et EZAVISNOST, la Secrétaire générale de la CES, Bernadette Ségol, a rencontré, le 26 février dernier à Belgrade, le Premier ministre, Ivica Dacic, le vice-Premier ministre, Aleksandar Vucic, et la responsable de l’équipe de négociation UE- Serbie, Tanja Miscevic.
À l’occasion du septième sommet Union européenne-Brésil, qui se déroule aujourd’hui, le 24 février 2014, à Bruxelles et auquel participe la Présidente Dilma Rousseff, un des points traités sera celui de relancer les négociations en faveur d'un accord d'association entre l'UE et le Mercosur.
En ce sens, la Confédération européenne des syndicats (CES) réitère les positions qui ont été exprimées conjointement avec les mouvements syndicaux d’Amérique Latine.
Aujourd’hui, les syndicats européens ont vigoureusement condamné le regain de violence qui fait suite aux événements dramatiques qui se sont produits dans les rues de la capitale ukrainienne. On y déplore de nombreux morts et des centaines de blessés parmi les manifestants et les forces de l’ordre. D’importants dégâts ont également été causés à des bâtiments publics et syndicaux. Ce n’est pas la voie à suivre pour résoudre les problèmes dans une société démocratique.
Les électeurs suisses ont, à une très courte majorité, décidé de mettre fin à la libre circulation des travailleurs entre la Suisse et l’Union européenne (UE). La Confédération européenne des syndicats (CES) respecte la décision démocratique des citoyens suisses. Elle souligne toutefois que cette décision aura d’importantes conséquences et remet en question l’ensemble des relations entre l’UE et la Suisse.
La Confédération européenne des syndicats (CES) félicite la Commission de l’Emploi et des Affaires sociales du Parlement européen à la suite de l’adoption de son rapport sur les conséquences, en matière d’emploi et en matière sociale, des actions de la Troïka[1] à Chypre, en Grèce, en Irlande et au Portugal. Le rapport met en lumière les effets dévastateurs des politiques de la Troïka sur la cohésion sociale.
La Confédération européenne des syndicats (CES) a rappelé aujourd’hui aux responsables européens que les négociations commerciales internationales doivent être ouvertes. Elles doivent également promouvoir les normes sociales, environnementales et techniques européennes et donner priorité aux emplois décents.
Le 20 décembre 2013, le Conseil des Ministres espagnol a approuvé un projet de loi visant à réformer la loi actuelle sur la santé et les droits sexuels et reproductifs. En cas d’adoption, cette nouvelle loi porte atteinte aux droit des femmes de décider librement de leur grossesse et aurait un effet négatif sur les obligations de l’Espagne envers le principe de l’égalité des femmes et des hommes telles que prescrit dans les traités de l’Union européenne. La CES s’oppose vigoureusement à ces propositions qui menacent les valeurs de l’Union européenne et des droits de l’homme.
La Confédération européenne des syndicats (CES) salue la décision du Parlement européen d’inclure dans l’examen de cas d’antidumping des références au respect des normes internationales en matière de travail et d’environnement définies dans les conventions de l’Organisation internationale du travail et dans les accords multilatéraux sur l’environnement ainsi que la possibilité pour les syndicats et autres parties prenantes d’introduire des réclamations.
Le Conseil fait pression sur le Parlement européen pour qu’il accepte une directive sur les détachements intragroupes sans dispositions garantissant la pleine égalité de traitement en faveur des ressortissants de pays tiers travaillant dans un État membre.
Aujourd’hui, lors d’une audition du Parlement européen, la Confédération européenne des syndicats (CES) a présenté les résultats de sa propre enquête sur les activités de la Troïka à Chypre, en Grèce, en Irlande et au Portugal. Le rapport montre que ces pays où la Troïka a mis en place ses politiques ont payé un prix économique et social élevé. La CES exige d’importants amendements aux programmes et mécanismes existants pour garantir que la politique d’austérité et de déréglementation de la Troïka ne puisse se répéter à l’avenir.
Le 22 janvier dernier, la Commission européenne a lancé « le cadre 2030 pour les politiques climatique et énergétique », un ensemble de nouveaux objectifs en matière de climat et d’énergie à mettre en œuvre pour 2030. Il est positif de constater que les réductions de gaz à effet de serre et les objectifs portant sur les énergies renouvelables soient obligatoires, permettant ainsi aux acteurs économiques et sociaux d’envisager une perspective à plus long terme.