L'Autorité européenne du travail (AET) a besoin de plus de pouvoirs et de ressources pour s'attaquer correctement à l'exploitation des travailleurs transfrontaliers, dira la CES aux décideurs politiques aujourd'hui.
Le non-paiement des salaires, la fraude à la sécurité sociale, les violations de la santé et de la sécurité et la mauvaise qualité des logements figurent parmi les violations des droits les plus courantes auxquelles sont confrontés certains des 10 millions de travailleurs mobiles en Europe.