Bruxelles, 07/12/2006
"Ce ne sont pas les salaires élevés ou la forte protection des travailleurs qui chassent l'industrie hors d'Europe, mais c'est un euro trop cher. Si des fleurons tels que Airbus sous-traitent leur activité vers la zone dollar, c'est que la politique monétaire emprunte vraiment une mauvaise voie" affirme John Monks, Secrétaire général de la Confédération européenne des syndicats (CES).